Biotechnologie et valorisation des ressources biologiques

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 Titre de l’Equipe  Etude des ressources végétales et tolérance au stress environnementaux
 Acronyme éventuel : ERVTSE
 Home page  Equipe
 Localisation physique : Université Médéa
 Nom du Chef d’équipe Nabi Fahima Grade : MCA
Nombre de publication (Google Scholar) 11
Nombre de citation Google Scholar) 53
Indice H (Google Scholar) 3
Compte Google Scholar NABI FAHIMA
 

Liste exhaustive des membres de l’équipe par grade en commençant par le grade le plus élevé

 Nom & Prénom Structure de rattachement Grade Spécialité Compte Google Scholar Nbre de publications Nbre de citations (Google Scholar) Indice H (Google Scholar)
NABI Fahima U.Médéa MCA Sciences agronomiques NABI FAHIMA 11 53 3
Chaouch

Abderrezak

U.Médéa MCA Entomologie appliquée Abderrezak Chaouch 7 3 1
Ghennam kamel U. Médéa MCA Ecologie et environnement ghennam kamel 05 08 02
CHEBAANI Meriem ENS KOUBA MAA Sciences agronomiques Meriem CHEBAANI 0 0 0
Khellaf Nora U. Medea MCB Entomologie Nora Khellaf 3 4 1
Bouchenafa Hadjer U.Medea Doctorante Sciences agronomiques / / / /
Méssaoudi Ayoub U.Médéa Doctorant Phytopathologie / / / /
Lebbaz Basma U.Médéa Doctorante Ecologie forestière / / / /
a.    Objectifs d’ensemble (Décrire en une dizaine de lignes l’objectif de la recherche menée par l’équipe)

 

Le programme proposé tente de répondre aux préoccupations du secteur dont le souci permanent est d’améliorer quantitativement et qualitativement la production agricole, et de la nécessité d’établir un lien solide entre l’enseignement, la recherche et le développement agricole A cet effet, la valorisation des ressources génétiques et l’intensification écologique des agrosystèmes offrent une voie prometteuse pour répondre à cette attente.

La stratégie adoptée dans ce projet d’une part, c’est de produire des connaissances et des résultats utilisables pour la sélection et l’amélioration génétique des espèces végétales grâce à une approche intégrative associant un ensemble de disciplines (biologie, physiologie, écophysiologie, biotechnologie et agronomie). D’autre part c’est de donner une impotence au volet phytosanitaire des cultures et dans ce contexte il est nécessaire de valoriser des bio-ressources comme méthodes alternatives aux produits chimiques contre les ennemis des cultures.

Les thèmes de recherches qui sont abordés dans ce projet sont fédérés par une approche d’écologie fonctionnelle des interactions plante- -sol avec les cultures associées céréales-légumineuses. Les technologies alternatives, biologiques et organiques qui en résultent, sont évaluées en réseau de parcelles de producteurs où sont simultanément appliqués des modèles numériques.

La fonction innovante de ce projet est d’exploiter les bénéfices écologiques des légumineuses dans les systèmes de cultures céréalières en favorisant leurs interactions avec les microorganismes du sol.

L’objectif est d’améliorer les productions végétales tout en limitant les conséquences néfastes sur l’air, l’eau et les sols des agrosystèmes en diminuant les apports d’engrais chimiques en augmentant la séquestration du carbone et en restaurant la fertilité du milieu par des innovations biotechnologiques et génétiques.

Un accent particulier serait mis sur la réponse des plantes et des peuplements à des stress abiotiques notamment la sècheresse et la salinité tant en terme de germination, de production de biomasse, de production de grain que de leurs qualités. Ceci nécessitera de comprendre les mécanismes physiologiques de tolérance à ces stress, de caractériser la diversité génétique et spécifique exploitable et d’identifier les bases génétiques.

L’objectif est également de rechercher parmi les méthodes nouvelles, celles qui pourront améliorer La tolérance des espèces aux différentes contraintes environnementales.

Pour cela, il est fait appel aux méthodologies de la génétique, de la physiologie, de la biologie moléculaire, de la microbiologie, de la culture in vitro, de la bioinformatique, de l’expérimentation en laboratoire et aux biostatistiques.

Concernant l’aspect phytosanitaire des cultures, le but de notre activité de recherche, s’intitule dans le cadre de valoriser les facteurs biotiques qui consiste à proposer des méthodes utilisant l’introduction volontaire prédateurs, de parasites, microorganismes comme les champignons, les bactéries ou les virus aussi par l’utilisation des extraits des huiles des plantes pour réduire ou supprimer les espèces considérées comme nuisibles à l’agriculture. La lutte biologique est une discipline scientifique basée sur les connaissances de la biologie de chacun des organismes impliqués mais aussi sur la prise en compte des relations complexes qui s’instaurent entre ces organismes. Pour mettre en place des programmes de lutte biologique, il est donc nécessaire de comprendre et évaluer les interactions entre organismes vivants ainsi que les interactions environnementales. Il faut aussi améliorer la connaissance de la biodiversité et des spécificités d’hôte et apprendre à gérer les diverses populations en présence. Toute introduction d’un auxiliaire de lutte biologique devrait se faire après une évaluation préalable des répercussions potentielles de cette introduction sur le milieu. La lutte biologique nécessite donc une approche pluridisciplinaire qui va mêler la biologie (microbiologie, biologie végétale, biologie animale), la génétique, la dynamique des populations, l’écologie et la pathologie, en particulier la phytopathologie…

 

b.    Fondements Scientifiques (Décliner les grands thèmes de travail que l’équipe propose)

1.    Réponse de quelques légumineuses algériennes au stress hydrique

2.    Tolérance de quelques légumineuses algériennes au stress salin.

3.    Valorisation des bio-ressources contre les ennemies des cultures

4.    Le pouvoir antagoniste de quelques facteurs biotiques sur l’amélioration de la tolérance des cultures

C.   Mots-Clés : Ressources végétales, stress salin, sécheresse, amélioration, sécurité alimentaire, lutte biologique, valorisation des bio-ressources.